PDF Etude comparative de taux de prolifération in situ et in vitro chez trois cultivards des bananiens plantains

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Upload date 18 May 2017
Contributeur bienfait,Jean-Léon kambale
Couverture géographique Kisangani, R D COngo,
Mots-clefs Cultivards,proliferation,
Date de publication 18/05/2017
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1 TFC GRACIA MAVE VERSION FINAL APRES DEFENSE.pdf (actuel) bienfait,Jean-Léon kambale 18 May 2017 3 MB application/pdf

Dans ce travail, il a été question de comparer le nombre de rejets émis in situ et le taux de prolifération in vitro des 3 cultivars des bananiers plantains (Musa AAB).Pour atteindre cet objectif, 5 touffes par cultivar, installé dans la collection de la Faculté des Sciences de l’Université de Kisangani, ont été comparées à 5 explants par cultivar aussi, initiés au laboratoire de culture de tissus de la même Faculté. Les observations sur le nombre de bourgeons émis in situ et le nombre de plantules produites in vitro ont été faites pendant 6
mois.Les résultats obtenus ont montré qu’en culture in situ, Litete, Libanga Likale et Tala Lola ont produit en moyenne 5,6 ; 14,2 et 4,8 rejets respectivement. En culture in vitro ces cultivars ont produit respectivement 25,2 ; 37,2 et 40,8 rejets en moyenne.L’ANOVA appliquée à ces résultats a montré l’existence des différences significatives entre les 3 cultivars en ce qui concerne le nombre de rejets produits in situ, alors qu’il n’existe pas de différence significative pour le nombre de rejets produits in vitro. Le test T de Student a été appliqué pour comparer les moyennes les deux techniques de multiplication des bananiers. Par ailleurs, il n’a pas existé de corrélation entre le rejetonnage in situ et la prolifération de  bourgeons in vitro.L’ensemble de ces résultats montre que la culture in vitro est la technique la plus intéressante pour la production de matériels de plantation de cultivars de bananiers plantains. Elle permet ainsi l’installation des plantations vastes et homogènes, contribuant de cette façon à la sécurité
alimentaire.