Dernieres nouvelles du SCDB
- Statement by David Cooper, Acting Executive Secretary of the Convention on Biological Diversity, CBD SBSTTA 26 Opening Remarks, 13 May 2024
- Parties to the Convention on Biological Diversity resume negotiations on crucial science and technology matters as SBSTTA 26 gets underway in Nairobi (Embargoed until 9:00 (EAT), Nairobi, Kenya)
- Statement by David Cooper, Acting Executive Secretary of the Convention on Biological Diversity, on the occasion of the International Day of Plant Health 12 May 2024
Exploitation de Petrodromus tetradactylus tordayi Thomas,1910 (Mammifère) dans six villages environnants la réserve forestière de Yoko
| Télécharger |
Exploitation des Macroscélidés à la Yoko.ppt
(
1 MB)
|
|---|---|
| Upload date | 08 Feb 2016 |
| Contributeur | Consolate Kaswera |
| Couverture géographique | R.D.C,Kisangani, |
| Mots-clefs | macroscélidés, exploitation, gibier, |
| Date de publication | 08/02/2016 |
| # | Nom du fichier | Contributeur | Upload date | Taille | Type de contenu |
|---|---|---|---|---|---|
| 1 | Exploitation des Macroscélidés à la Yoko.ppt (actuel) | Consolate Kaswera | 08 Feb 2016 | 1 MB |
application/vnd.ms-powerpoint
|
A l’instar des gros gibiers connus de la région, les petits mammifères notamment les sengis sont également menacés par la chasse. L’exploitation se pratique de manière non durable, de sorte qu’elle serait susceptible d’entraîner la rareté et probablement la disparition locale des espèces.
A l’issue de l’inventaire réalisé au sein de six villages environnants la R.F.Yoko pendant 18 mois; 278 spécimens ont été enregistrés. Parmi les piégeurs, les jeunes gens sont majoritaires, et leur apport est estimé à 68%. Les villages à forte démographie comptent un nombre élevé de piégeurs. Cette situation se justifie par une demande de plus en plus forte en protéines animales.
La période de fermeture telle que promulguée par la loi n’est pas respectée. La chasse s’effectue toute l’année. Suite à cette pression croissante, les Macroscélides deviennent de plus en plus rares dans les aires forestières autour de Kisangani, voire inexistants sur les marchés urbains de gibier. Quelques individus se vendent de porte à porte aux villages soit entre piégeurs.
Pourtant, il y a une vingtaine d’années on pouvait capturer du gibier en abondance. Aujourd’hui, il faut doubler d’efforts et parcourir de longues distances pour espérer un résultat satisfaisant.