PDF Rapport d’évaluation à mi-parcours du projet de « renforcement des capacités d’adaptation et de gestion des impacts des changements climatiques sur la production agricole et la sécurité alimentaire en RD Congo » ou projet PANA-ASA

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Upload date 20 Nov 2014
Contributeur Adélard Mutombo
Couverture géographique Congo, La République démocratique du,
Mots-clefs convention sor boidiversité, conservation de la diversité biologique,
Date de publication 13/02/2013
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# Nom du fichier Contributeur Upload date Taille Type de contenu
1 RAPPORT D'EVALUATION MI_PARCOURS DU PROJET PANA-ASA V4 sans track change.pdf 20 Nov 2014 296 KB application/pdf
2 Présentation Développement Durable KILOLA [Mode de compatibilité].pdf 20 Nov 2014 249 KB application/pdf
3 Rapport Final d'évaluation mi-parcours PANA-ASA restitué.2.pdf (actuel) 20 Nov 2014 1 MB application/pdf
1 English RAPPORT D'EVALUATION MI_PARCOURS DU PROJET PANA-ASA V4 sans track change.pdf 20 Nov 2014 296 KB application/pdf
2 English Présentation Développement Durable KILOLA [Mode de compatibilité].pdf 20 Nov 2014 249 KB application/pdf
3 English Rapport Final d'évaluation mi-parcours PANA-ASA restitué.2.pdf (actuel) 20 Nov 2014 1 MB application/pdf

Conformément aux directives du FEM, le projet s’inscrit dans le domaine de changement climatique et constitue une réponse d’adaptation à la vulnérabilité de petits producteurs agricoles, à qui revient l’essentiel de la production vivrière réalisée. Les sites pilotes retenus pour ce projet sont représentatifs de trois de quatre zones écologiques répertoriées en RD Congo. La quatrième zone, située à l’extrême nord est et à l’est nord du pays, bien que susceptible d’être affectée par le changement climatique, n’a pas été considérée à la fois pour des raisons de sécurité et du budget limité du projet. Néanmoins, la mise en oeuvre de ce projet a permis d’initier des actions prioritaires d’adaptation aux effets extrêmes du changement climatique, qui sont appelées à se développer et à s’étendre vers les autres sites ou zones écologiques.
Le document de projet a été particulièrement ambitieux en termes des résultats et des impacts attendus de la mise en oeuvre du projet, dont la durée n’est que de 4 ans, avec par ailleurs un budget relativement limité. Des indicateurs de réalisation repris dans le document sont pour la plupart non quantifiables et ne peuvent être mesurés qu’à la suite d’une auto-prise (appropriation) par les bénéficiaires des acquis du projet, permettant ainsi de mesurer, dans le temps, les changements intervenus dans les systèmes de production agricole pour réduire la vulnérabilité de petits producteurs agricoles face aux méfaits du changement climatique.
Au plan institutionnel, l’organisation prévoit des structures de gestion, de coordination et de suivi aussi bien au niveau national qu’au niveau de provinces porteuses des sites pilotes du projet. Paradoxalement, le document est resté muet quant aux sources de financement permettant de s’assurer et de garantir le fonctionnement de celles-ci, quand bien même qu’elles soient importantes pour pérenniser les acquis du projet et en garantir la durabilité. Ainsi, ces structures, quoique constituées sous l’impulsion du projet, sont apparues quasi inopérantes sur le terrain. Ceci concerne aussi bien les Comités de pilotage du projet institués au niveau national et au niveau de quatre provinces concernées par le projet, que les Unités de Coordination du Projet (UCP) et les Groupes de travail pluridisciplinaires pour les systèmes d’alertes précoces.
Au plan opérationnel, le document du projet laisse supposer ...