Centre d'Echange d'Informations de la RD Congo - Phytosociologie<p>Ici sont postés les documents liés à la Phytosociologie.</p>2017-06-17T12:39:18Ztag:cd.chm-cbd.net,2017-06-17:/implementation/centre-de-sureveillance-de-la-biodiversite-csb/botanique/phytosociologiehttp://cd.chm-cbd.net/misc_/CHM2/Site.gifCentre d'Echange d'Informations de la RD CongoAnalyse de la dynamique floristique et accumulation de carbone dans les forêts secondaires de la cuvette centrale : cas du Parc National de la Salonga, RDCtag:cd.chm-cbd.net,2017-01-13:/implementation/centre-de-sureveillance-de-la-biodiversite-csb/botanique/phytosociologie/analyse-de-la-dynamique-floristique-et-accumulation-de-carbone-dans-les-forets2017-01-13T11:02:41ZConsolate KasweraConsolate Kaswera<p>Cette étude a porté sur l’analyse des processus de recrutement, mortalité et accroissement des espèces d’arbres et lianes dans deux stades de succession des forêts secondaires et sur la manière dont ces processus influencent dans le temps le changement de la structure de la communauté dans sa composition floristique et la vitesse d’accumulation de la biomasse aérienne. Pour atteindre cet objectif, les données des inventaires réalisées en 2008 et 2011 dans les sites de projet carbone dans et aux environs du Parc National de la Salonga ont été analysées. Nous avions analysé la dynamique floristique sur base des indices de diversités alpha et Beta, la courbe Aire-espèce. L’estimation de la biomasse était réalisée par l’utilisation des équations allométriques. Le regroupement d’espèces pionnières, héliophiles et Tolérantes à l’ombre nous a permis d’évaluer le changement dans la composition floristique. Trois ans après le premier inventaire, la densité des tiges est la même dans et entre les deux forêts secondaires pour les arbres à DHP> 10 cm. Le taux de mortalité est similaire entre les deux stades de forêts secondaires. Cependant, le processus de recrutement est trop faible en forêt secondaire vieille. Le processus de mortalité tout comme de recrutement n’a pas fortement influencé la composition floristique dans les deux forêts secondaires. La forêt secondaire continue à être dominée par les espèces pionnières (Tetrorchidium didymostemon Baill. Pax & K. Hoffm., Musanga cecropioides R. Br. ex Tedlie, Macaranga monandra Müll. Arg). En, plus de l’augmentation de biomasse, le processus de recrutement à augmenter de 13% le nombre d’espèces d’arbres en forêt secondaire jeune et de 2,3 % en forêt secondaire vieille. En trois ans, la similarité floristique entre les deux stades de succession de forêts secondaires est passé de 42% à 44% pour les espèces d’arbres et de 26 % à 24% pour les espèces des lianes. </p>Etudes floristique, phytosociologique et phytogéographique de la végétation herbacée et du sous-bois de la réserve forestière de la Yoko (Province de la Tshopo, RD Congo)tag:cd.chm-cbd.net,2017-01-16:/implementation/centre-de-sureveillance-de-la-biodiversite-csb/botanique/phytosociologie/etudes-floristique-phytosociologique-et-phytogeographique-de-la-vegetation2017-01-16T16:32:15ZJustin AsimonyioJustin Asimonyio<p>A floristic inventory of grass and undergrowth was carried out in the southern block of the Yoko Forest Reserve in the Eastern Province. This study aimed to identify grasses and undergrowth, and evaluate the wealth of this areal florula. Transect methods and phytosociological survey was the approach used. A total of 116 plant species have been inventoried and are belonging to 92 genera and 44 families. Note that the dominant families and features are: Commelinaceae (7.76%) and Rubiaceae (6.90%). The relative densities of species and the highest are those of family Marantochloa congensis (174.0 feet/ha) and Marantaceae (360.0 feet/ha). The relative frequencies of the most observed species are those of Palisota barteri (3.21%) and Cola congolana (3.39%), while those of family are Arecaceae, Commelinaceae, Connaraceae, Euphorbiaceae, Lomariopsidaceae, Malvaceae, Marantaceae and Menispermaceae (6.25%). Simpson's diversity index (0.957), Shannon’s diversity index (3.619) and equitability (0.798) revealed that this florula is diversified and its species are well distributed. It is thus desirable that this study is extended to other forest reserves and forest groupings of Kisangani city and its surroundings in order to establish a better database necessary for the sustainable management of the classified forests and other sites of<br />high value for the conservation.</p>Etudes floristique, phytosociologique et phytogéographique de la végétation herbacée et du sous-bois de la réserve forestière de la Yoko (Province de la Tshopo, RD Congo)tag:cd.chm-cbd.net,2017-01-16:/implementation/centre-de-sureveillance-de-la-biodiversite-csb/botanique/phytosociologie/etudes-floristique-phytosociologique-et-phytogeographique-de-la-vegetation-12017-01-16T16:32:15ZJustin AsimonyioJustin Asimonyio<p>A floristic inventory of grass and undergrowth was carried out in the southern block of the Yoko Forest Reserve in the Eastern Province. This study aimed to identify grasses and undergrowth, and evaluate the wealth of this areal florula. Transect methods and phytosociological survey was the approach used. A total of 116 plant species have been inventoried and are belonging to 92 genera and 44 families. Note that the dominant families and features are: Commelinaceae (7.76%) and Rubiaceae (6.90%). The relative densities of species and the highest are those of family Marantochloa congensis (174.0 feet/ha) and Marantaceae (360.0 feet/ha). The relative frequencies of the most observed species are those of Palisota barteri (3.21%) and Cola congolana (3.39%), while those of family are Arecaceae, Commelinaceae, Connaraceae, Euphorbiaceae, Lomariopsidaceae, Malvaceae, Marantaceae and Menispermaceae (6.25%). Simpson's diversity index (0.957), Shannon’s diversity index (3.619) and equitability (0.798) revealed that this florula is diversified and its species are well distributed. It is thus desirable that this study is extended to other forest reserves and forest groupings of Kisangani city and its surroundings in order to establish a better database necessary for the sustainable management of the classified forests and other sites of<br />high value for the conservation.</p>Typologie des forêts denses des environs de Kisangani par une méthode d'analyse phytosociologique multistratetag:cd.chm-cbd.net,2017-01-19:/implementation/centre-de-sureveillance-de-la-biodiversite-csb/botanique/phytosociologie/typologie-des-forets-denses-des-environs-de-kisangani-par-une-methode-d-analyse2017-01-19T17:54:57ZJudith TsongoJudith Tsongo<p style="text-align: justify;">La présente étude a porté sur la typologie des forêts denses des environs de Kisangani. Elle a consisté à mettre en évidence les communautés végétales des strates arborescentes de ces forêts et de partitionner la variance tloristique entre les paramètres environnementaux et spatiaux. La méthode de relevés phytosociologiques multistrates (relevé synusial) a été utilisée pour inventorier les arbres sur terrain. Au total 23 relevés décomposés en deux sous-relevés emboîtés ont été mis en place dans les forêts de Yoko et de Biaro, distantes de plus ou moins 10 Km. La strate arborescente supérieure (A) a été inventoriée sur une surface de 200 x 50 m (soit 1 hectare) pour un relevé et la strate arborescente inférieure (Ad) sur une surface de 200 x 10 m (soit 0,2 hectare) pour un relevé. A l'issue de cette étude, 6987 individus ont été recensés. Après leur identification, 249 espèces appartenant à 41 familles ont été obtenues globalement. A l'issue des analyses d'ordination (logiciel CANOCO) et de classification (logiciel PAST), deux types de forêts ont été caractérisés: la forêt établie sur sol sableux et celle établie sur un substrat argileux. Les espèces Scorodophloeus zenkeri et Julbernardia seretii caractérisent la forêt sur sol sableux au niveau de la strate A et Anonidium mannii et Cola griseiflora au niveau de la strate Ad : tandis que les espèces Petersianthus macrocarpus et Pericopsis elata caractérisent la forêt sur sol argileux au niveau de la strate A et Aidia micrantha et Strombosia pustulata au niveau de la strate Ad. La diversité spécifique ne montre pas une différence significative entre ces deux types de forêt, mais semble plutôt augmenter à hauteur décroissante de strate. Le déterminisme de l'hétérogénéité de différents groupes est dicté en général par la texture du sol, l'hydromorphie du sol et la topographie.</p>Etude des chenilles comestibles et autres usages de leurs plantes hôtes dans les districts de Kisangani et de la Tshopotag:cd.chm-cbd.net,2017-05-26:/implementation/centre-de-sureveillance-de-la-biodiversite-csb/botanique/phytosociologie/etude-des-chenilles-comestibles-et-autres-usages-de-leurs-plantes-hotes-dans-les2017-05-26T14:46:25ZJudith TsongoJudith Tsongo<p>Un inventaire des chenilles comestibles, de leurs plantes hôtes ainsi que des autres usages de ces plantes a été réalisé dans les districts de Kisangani et de la Tshopo.</p>
<p>15 espèces des chenilles comestibles reparties en 3 familles ont été identifiées. La famille Saturniidae est dominante (60%).</p>
<p>L'étude floristique a donné 32 espèces végétales dont se nourrissent ces chenilles. Elles appartiennent à 23 genres et 14 familles. La plupart de ces plantes sont des arbres (90%), parmi lesquelles les Mésophanérophtes dominent (45,4%), les espèces guinéenes (42,4%) et les sarcochores (60,6%).</p>
<p>L'analyse des autres usages des plantes hôtes révèle que 20 d'entre elles sont utilisées dans la médecine tradutionnelle locale; 18 dans la fabrication de charbon de bois et 13 dans le commerce industriel et artisanal de bois (notons qu'une plante peut être citée plus de deux fois).</p>
<p>Ces usages multiples associés à l'agriculture sur brûlis et à l'abbatage des arbres lors de la récolte sont reconnus par la population comme les principales causes de la rareté des chenilles observée ces dernières décénies dans la région.</p>
<p>Il existe un marché des chenilles à Kisangani. Ce dernier est surtout pratiqué par les femmes. Trois principaux acteurs interviennent dans le circuit de distribution des chenilles : <strong>les récolteurs, les grossistes et les détaillants</strong>.</p>
<p>L'abondance des chenilles au marché a été notée entre Juillet et Septembre. Le revenu mensuel moyen de dix détaillants au marché central de Kisangani est évalué à 228,8 dollars US pour une vente journalière d'au moins 50 gobelets des chenilles séchées.</p>
<p></p>Contribution à l’inventaire des plantes consommées par les animaux domestiques (Cobaye, Lapin et Porc) à Kisangani et ses environs(RDC)tag:cd.chm-cbd.net,2017-05-26:/implementation/centre-de-sureveillance-de-la-biodiversite-csb/botanique/phytosociologie/contribution-l-inventaire-des-plantes-consommees-par-les-animaux-domestiques2017-05-26T14:46:25ZJudith TsongoJudith Tsongo<p style="text-align: justify;">Une enquête ethnobotanique réalisée à Kisangani et ses environs a permis de recenser 87 espèces des plantes consomées par le cobaye, le lapin et porc.</p>
<p style="text-align: justify;">Au total 176 rations ont été obtenues : le cobaye, 77 plantes (43, 75%); le lapin 63 plantes (35,80%) et le porc 36 plantes (20,45%).</p>
<p style="text-align: justify;">Les relevés réalisés dans 10 stations nous ont permis d'apprécierl'abondance dominance de 49 plantes et l'espèce Panicum maximum consommée par les trois groupes d'animaux était présente dans tous les relevés.</p>
<p style="text-align: justify;">Ces plantes sont généralement rudérales, thérophytes provenant des formations herbacées à distribution pantropicale. La tige feuillée est l'organe le plus utilisé par ces trois groupes d'animaux.</p>
<p style="text-align: justify;">Sur 87 espèces recensées, 50 sont citées comme plantes alimentaires pour la première fois.</p>
<p></p>Contribution à l’étude écologique et systématique des champignons supérieurs (Macromycètes) de la réserve forestière de Masako / Kisangani (Province Orientale, RDC).tag:cd.chm-cbd.net,2017-05-26:/implementation/centre-de-sureveillance-de-la-biodiversite-csb/botanique/phytosociologie/contribution-l-etude-ecologique-et-systematique-des-champignons-superieurs2017-05-26T14:46:25ZJudith TsongoJudith TsongoL'étude écologique et systématique des champignons supérieurs(Macromycètes) de la réserve forestière de Masako, a été faite dans le présent travail.
Nous avons récolté 56 espèces appartenant à 38 genres, regroupés en 26 familles, 15 ordres, 3 sous classes et 2 classes. Les embranchement Basidiomycota regorge à lui seul 92,8% d'espèces tandis que le sous-embranchement Ascomycotina ne renferme que 7,1% d'espèces.
Les ordres Agaricales (23%) et Tricholomatales (21,4%) sont les mieux représentés. La famille Polyporaceae renferme 16%.
Du point de vue écologique, nous avons obtenu 55, 4% des espèces lignicoles et 44,6% des espèces terticoles.
58,9% des espèces ont les carpophores complets tandisque 16% sont apodes.
Tandis que 16% sont apodes.
La littératurfe nous donne 37,5% d'espèces comestibles et 7,14% sont médicinales.Contribution à l’étude floristique de la forêt à Brachystegia laurentii (De Wild) Louis de la réserve Yoko (Bloc Nord Ubundu, P. Orientale, RDC)tag:cd.chm-cbd.net,2017-05-26:/implementation/centre-de-sureveillance-de-la-biodiversite-csb/botanique/phytosociologie/contribution-l-etude-floristique-de-la-foret-brachystegia-laurentii-de-wild2017-05-26T14:46:25ZJudith TsongoJudith Tsongo<p style="text-align: justify;">Le présent travail a porté sur l'étude floristique de la forêt à <em>Brachystegia laurentii</em> de Yoko.</p>
<p style="text-align: justify;">La flore étudiée compte 304 espèces reparties en 3 embranchements, 4 sous-embranchements, 7 classes, 9 sous-classes, 30 ordres, 69familles, 200 genres. Les Magnoliophyta sont dominants avec 290 espèces soit 95,39% de la florule. Les plantes de cette forêt sont en grande partie des phanérophytes (85,85%) à diaspores sarcochores (74,01%) et à distribution guinéenne (74,34%). Ce sont surtout des espèces de la classe des<em> Strombosio-Parinarietea</em> (57,56%).</p>
<p style="text-align: justify;">L'inventaire effectué dans 5 placeaux d'un hectare nous a permis de recenser 1097 individus à DBH regroupés en 111 espèces et 32 familles. La surface terrière obtenue pour le premier placeau est de 21,56m² /ha, le second placeau a une surface terrière de 24,83m²/ha, le troisième, le quatrième et le cinquième ont respectivement 23,24m²/ha; 29,84m²/ha et 25,78m²/ha.</p>
<p style="text-align: justify;">La forme brisée des courbes de structure de diamètre s'écartant du modèle en *L* exponentiel et le manque d'individu dans la classe de diamètre supérieur à 10 cm des trois premières espèces attestent que la forêt à <em>Brachystegia laurentii</em> de Yoko a subi une perturbation essentiellement d'ordre anthropique.</p>Etude anatomique de quelques plantes épiphytes vasculaires de Kisangani (Province Orientale, R.D. Congo) tag:cd.chm-cbd.net,2017-05-26:/implementation/centre-de-sureveillance-de-la-biodiversite-csb/botanique/phytosociologie/etude-anatomique-de-quelques-plantes-epiphytes-vasculaires-de-kisangani-province2017-05-26T16:00:32ZJudith TsongoJudith Tsongo<p style="text-align: justify;">Le présent travail porte sur l'étude Anatomique de quelques épiphytes vasculaires de la flore Kisangani.</p>
<p style="text-align: justify;">A cet effet, 15 plantes épiphytes vasculaires ontété choisies. Elles appartiennent à 5 groupes d'après le caractère écologique et morphologique.</p>
<p style="text-align: justify;">Ce sont :</p>
<p style="text-align: justify;">- Les épiphytes vasculaires accidentels</p>
<p style="text-align: justify;">- Les fougères à dimorphisme foliaire</p>
<p style="text-align: justify;">- Les fougères sans dimorphisme foliaire</p>
<p style="text-align: justify;">- Les dicotylédones</p>
<p style="text-align: justify;">- Les orchidées</p>
<p style="text-align: justify;">Ce travail s'est réalisé sur des coupes transversales dans les organes végétatifs, racine, tige et feuille pour les angiospermes et dans les rhizomes, fronde(Pétiole et limbe foliaire) pour les fougères.</p>
<p style="text-align: justify;">En gros, la structure anatomique des racines et feuilles varie très peu pour presque toutes les espèces concernées, la structure des tiges est soit de types dicotylédone, soit du type monocotylédone chez les angiospermes. Elle est polystélique dans le rhizome et pétiole des fougères.</p>Impact des prélèvements des produits végétaux utiles et stratégies pour améliorer la conservation de la réserve forestière de Masako, Kisangani, RDCtag:cd.chm-cbd.net,2017-05-27:/implementation/centre-de-sureveillance-de-la-biodiversite-csb/botanique/phytosociologie/impact-des-prelevements-des-produits-vegetaux-utiles-et-strategies-pour2017-05-27T16:42:29ZJudith TsongoJudith Tsongo<p style="text-align: justify;">Le présent travail porte sur l'impact de prélèvement des produits végétaux et les stratégies pour améliorer la conservation de la Réserve Forestière de Masako.</p>
<p style="text-align: justify;">115 espèces appartenant à 95 genres et 43 familles ont été inventoriées ainsi que leurs usages.</p>
<p style="text-align: justify;">Parmi ces espèces, 61 sont utilisées pour la production des braises, 20 interviennnet dans la fabrication des pirogues, 11 sont comestibles, 37 sont médicinales et enfin 27 sont à usages divers. Les 115 espèces sont classées dans 25 ordres, 9 sous-classes, 4 classes, 3 sous embranchements et enfin 2 embranchements dont les Spermatophyta et les Pteridophyta.</p>Contribution à l’étude floristique, écologique et phytosociologique de la forêt de terre ferme de l’île Mbiye à Kisangani (Province Orientale, R.D.Congo) tag:cd.chm-cbd.net,2017-05-29:/implementation/centre-de-sureveillance-de-la-biodiversite-csb/botanique/phytosociologie/contribution-l-etude-floristique-ecologique-et-phytosociologique-de-la-foret-de2017-05-29T15:51:03ZJudith TsongoJudith Tsongo<p style="text-align: justify;">Le présent travail est un mémoire de fin d'étude universitaire, il constitut le résultat d'une floristique, Ecologique et Phytosociologique réalisée dans la forêt de terre ferme de l'île Mbiye à Kisangani et appartenant à la classe des Strombosio-Parinarietea Lebrun et Gilbert(1963).</p>
<p style="text-align: justify;">Deux méthodes principales étaient choisies pour cette étude et ont permis d'inventorier un total de 4449 individus appartenant à 218 espèces, 163 genres et 52 familles.</p>
<p style="text-align: justify;">La méthode de transect par la mesure de dbh, a permis d'inventorier 2534 individus à dbh <b>≥</b> 10 cm, dans 20 placeaux de 50m*50m formant une superficie de 5 ha.</p>
<p style="text-align: justify;">La méthode de relevés Phytosociologique, tenant compte de toutes les strates et faisant recours à l'échelle de Van Der Maarel, a conduit au recensement de 1915 individus appartenant à 6 relevés, ces relevésà plusieurs strates étaient décomposés en sous relevés structurels à effort d'échantillonnage fixés à 100 individus / ha pour les trois strates ligneuses (strates dominantes, dominée et sous-bois) et 200m² les strates herbacées et sous arbustives.</p>
<p style="text-align: justify;">Lors de la prise de dbh, les espèces <em>Cleistanthus mildbraedii</em> et<em> Aidia micrantha</em> étaient dominantes à cause de leurs fréquences et densités élevées.</p>
<p style="text-align: justify;">Les 6 relevés effectués au sein de la forêt de terre ferme de l'île Mbiye, sont soumis à l'analyse principale Twinspan (Two Way Indicator Species Analysis). L'ordonination et classifications de ces relevés<b> </b>Phytosociologiques établis par cette méthode d'analyse, a permis de déterminer au sein de cette forêt un groupement végétal.</p>
<p style="text-align: justify;">- Groupement à <em>Pychnantus marchalianus</em>, <em>Chlamydocola chlamydantha</em>, <em>Anthonotha macrophylla</em>, <em>Rhinorea oblongifolia</em> et <em>Cola congolana</em>.</p>
<p style="text-align: justify;">- L'anthropisation que connaît cette île est en partie responsable de l'abondance de l'espèce des Musanga-Terminalietea, classe qui caractérise les forêts secondaires.</p>Contribution à l’étude phytosociologique des forêts secondaires de terre ferme de la réserve de Yoko bloc Nord Ubundu.tag:cd.chm-cbd.net,2017-05-29:/implementation/centre-de-sureveillance-de-la-biodiversite-csb/botanique/phytosociologie/contribution-l-etude-phytosociologique-des-forets-secondaires-de-terre-ferme-de2017-05-29T15:51:03ZJudith TsongoJudith Tsongo<p style="text-align: justify;">L'étudeque nous avons envisagée sur la phytosociologie des forêts secondaires de terre ferme de la réserve Yoko, Bloc Nord, nous a permis d'inventorier 138 espèces. L'aspect phytosociologique a porté sur la déscription des groupements à <em>Musanga-cecropioides</em>, <em>Aframomum laurentii</em> et <em>Sarcophrynium macrostachyum</em>. Parmi ces espèces celles appartenant à la classe <em>Musango-Terminalietea </em>sont nombreuses avec respectivement 68,33%; 24,615% et 19,767%, suivie de la classe de Strombosio-Parinarietea avec respectivement 23,33%; 23,0769% et 30,232%, et parmi elle, les plantes ligneuses dominent avec respectivement 76,33%; 73,846%; 81,395%. </p>
<p style="text-align: justify;">Leurs types biologiques montrent une dominance assez considérable des phanérophytes avec respectivemnt 86,70%; 72,31% et 80,232. La distribution phytogéographique des espèces de trois groupements étudiés est dominée par l'élement base Guinéo-Congolais avec respectivement 81,7%; 89,230% et 89,534. Le type de dissemination des diaspores met en évidence la prédominance des Sarcochores avec respectivement 72,5%; 70,769% et 72,093%. Leurs caractéristiques édaphoclimatiques montrent que les sols de la réserve de la Yoko ont une texture sablo-argileuse au niveau des horizons supérieurs compris entre 0 à 20 cm de profondeur avec un potentiel d'hydrpgène extrêmement acide et une teinte jaunâtre jaune-Rouge.</p>
<p style="text-align: justify;">Toutes ces communautés végétales ont été définies et mises en évidence d'associations Végétales dans le présent travail.</p>La Phénologie comparative de quelques arbres relictuels et exotiques dans la ville de Kisangani(RDC)tag:cd.chm-cbd.net,2017-05-29:/implementation/centre-de-sureveillance-de-la-biodiversite-csb/botanique/phytosociologie/la-phenologie-comparative-de-quelques-arbres-relictuels-et-exotiques-dans-la2017-05-29T15:51:03ZJudith TsongoJudith Tsongo<p style="text-align: justify;">La phénologie comparative de 81 arbres relictuels et 351 arbres exotiques appartenant à 65 espèces a été étudiée dans la ville de Kisangani entre octobre 1997 et octobre 1998.</p>
<p style="text-align: justify;">Les deux catégories de plantes ont connu les plus fortes défoliations au mois de février qui correspond à la période le moins pluvieuse. La plus grande floraison des espèces relictuelles était observée au mos de fevrier alors que les arbres exotiques, elle a eu lieu au mois de juillet.</p>
<p style="text-align: justify;">La grande floraison des espèces relictuelles était observée au mois de février alors que les arbres exotiques, elle a eu lieu au mois de juillet.</p>
<p style="text-align: justify;">La fructification des plantes relictuelles était plus abondante en mars tandis que chez les plantes exotiques, elle était constatée au mois d'août. La chute des fruits dans les deux catégories de plantes n'a pas présenté de variations importantes durant la période d'étude.</p>La Phénologie comparative de quelques arbres relictuels et exotiques dans la ville de Kisangani(RDC)tag:cd.chm-cbd.net,2017-05-29:/implementation/centre-de-sureveillance-de-la-biodiversite-csb/botanique/phytosociologie/la-phenologie-comparative-de-quelques-arbres-relictuels-et-exotiques-dans-la-12017-05-29T15:51:03ZJudith TsongoJudith Tsongo<p style="text-align: justify;">La phénologie comparative de 81 arbres relictuels et 351 arbres exotiques appartenant à 65 espèces a été étudiée dans la ville de Kisangani entre octobre 1997 et octobre 1998.</p>
<p style="text-align: justify;">Les deux catégories de plantes ont connu les plus fortes défoliations au mois de février qui correspond à la période le moins pluvieuse. La plus grande floraison des espèces relictuelles était observée au mos de fevrier alors que les arbres exotiques, elle a eu lieu au mois de juillet.</p>
<p style="text-align: justify;">La grande floraison des espèces relictuelles était observée au mois de février alors que les arbres exotiques, elle a eu lieu au mois de juillet.</p>
<p style="text-align: justify;">La fructification des plantes relictuelles était plus abondante en mars tandis que chez les plantes exotiques, elle était constatée au mois d'août. La chute des fruits dans les deux catégories de plantes n'a pas présenté de variations importantes durant la période d'étude.</p>