Depuis des décenies, dans la cuvette Congolaise, on reconnaît généralement des formations forstières primaires de basse et moyenne altitudes, de terre ferme ou des milieux hydriques. Ces forêts ne sont pas stables. Elles évoluent en fonction du temps et d'autres aléas. Qu'interviennent des perturbations des diverses natures, la composition floristique et même la stratificaton en question. Il est ainsi rare de rencontrer des formations végétales stables dans les abords des villages de la région de Kisangani, qui soient échappées de actions anthropiques néfastes. La présente étude avait pour objectif principal de fournir des éléments explicatifs de la dynamique de croissance de rejets des souches dans les champs soumis au système d'agriculture itinérante sur brûlis; Elle a été efféctuée dans les abords de la resèrve forestière de Yoko en utilisant la méthode d'inventaire des souches sur 0,53 ha a permis de constater une densité totale de 115 souches appartenant à 29 espèces reparties dans 25 genres et 19 familles. Les analyses statistiques montrent l'absence de corrélation entre la hauteur, le diamètre et le nombre de rejets. Aussi, de ces analyses, on a remarqué que, le nombre des rejets diinuent avec l'augmentation du diamètre mais aussi de la hauteur. Aussi, de ces analyses on a remarqué que, le nombre des rejets diminuent avec l'augmentation du diamètre mais aussi de la hauteur. Aussi, on a constaté que la densité des souches diminue avec l'augmentation des activités dans le champs(désherbage, sarclage et autres). Quant à l'éclairement, les rejets des souches sous culture diminuent en fonction de l'intérêt du paysan. Pour ce dernier, les champs sont soumis à l'entretien au cours duquel, les rejets sont coupés périodiquement de leur souche pour éviter la compétition pour la lumière entre les cultures et les rejets.