Centre d'Echange d'Informations de la RD Congo - Biomasse forestière2017-02-11T11:44:04Ztag:cd.chm-cbd.net,2017-02-11:/implementation/centre-de-sureveillance-de-la-biodiversite-csb/botanique/biomasse-forestierehttp://cd.chm-cbd.net/misc_/CHM2/Site.gifCentre d'Echange d'Informations de la RD CongoEtablissement de tarifs de cubage pour Gilbertiodendrontag:cd.chm-cbd.net,2017-01-23:/implementation/centre-de-sureveillance-de-la-biodiversite-csb/botanique/biomasse-forestiere/etablissement-de-tarifs-de-cubage-pour-gilbertiodendron2017-01-23T11:58:53Zbienfait,Jean-Léon kambalebienfait,Jean-Léon kambale<p style="text-align: justify;">L’aménagement forestier durable, la gestion aux échelles locales et régionales des ressources ligneuses et la planification de l’approvisionnement en bois d’œuvre des industries, ne pourront se faire sans connaitre la disponibilité en bois des espaces concernés.Le couplage de résultats d’inventaires forestiers à des tarifs de cubage et/ou biomasse permet d’estimer cette disponibilité. L’élaboration des tarifs de cubage pour <em>Gilbertiodendron dewevrei</em>, <em>Diospyros chrysocarpa</em> et <em>Diogoa zenkeri</em> et biomasse sèche pour <em>Gilbertiodendron dewevrei</em> principalement représentées dans la forêt expérimentale de Bawombi est ici présentée.Les résultats des tests statistiques montrent que nos tarifs sont différents de ceux des autres régions construits pour les trois espèces étudiées.</p>Analyse de la dynamique floristique et accumulation de carbone dans les forêts secondaires de la cuvette centrale : cas du Parc National de la Salonga, RDC tag:cd.chm-cbd.net,2017-01-26:/implementation/centre-de-sureveillance-de-la-biodiversite-csb/botanique/biomasse-forestiere/analyse-de-la-dynamique-floristique-et-accumulation-de-carbone-dans-les-forets2017-01-26T17:19:51ZConsolate KasweraConsolate Kaswera<p>Cette étude a porté sur l’analyse des processus de recrutement, mortalité et accroissement des espèces d’arbres et lianes dans deux stades de succession des forêts secondaires et sur la manière dont ces processus influencent dans le temps le changement de la structure de la communauté dans sa composition floristique et la vitesse d’accumulation de la biomasse aérienne. Pour atteindre cet objectif, les données des inventaires réalisées en 2008 et 2011 dans les sites de projet carbone dans et aux environs du Parc National de la Salonga ont été analysées. Nous avions analysé la dynamique floristique sur base des indices de diversités alpha et Beta, la courbe Aire-espèce. L’estimation de la biomasse était réalisée par l’utilisation des équations allométriques. Le regroupement d’espèces pionnières, héliophiles et Tolérantes à l’ombre nous a permis d’évaluer le changement dans la composition floristique. Trois ans après le premier inventaire, la densité des tiges est la même dans et entre les deux forêts secondaires pour les arbres à DHP> 10 cm. Le taux de mortalité est similaire entre les deux stades de forêts secondaires. Cependant, le processus de recrutement est trop faible en forêt secondaire vieille. Le processus de mortalité tout comme de recrutement n’a pas fortement influencé la composition floristique dans les deux forêts secondaires. La forêt secondaire continue à être dominée par les espèces pionnières (Tetrorchidium didymostemon Baill. Pax & K. Hoffm., Musanga cecropioides R. Br. ex Tedlie, Macaranga monandra Müll. Arg). En, plus de l’augmentation de biomasse, le processus de recrutement à augmenter de 13% le nombre d’espèces d’arbres en forêt secondaire jeune et de 2,3 % en forêt secondaire vieille. En trois ans, la similarité floristique entre les deux stades de succession de forêts secondaires est passé de 42% à 44% pour les espèces d’arbres et de 26 % à 24% pour les espèces des lianes. -1 La biomasse aérienne des arbres en forêt secondaire jeune est passée de 129,99 ± 47.9 Mg ha à -1 -1 -1 157,94 ± 47.7 Mg ha soit une accumulation annuelle de 9,1 ± 4,94 Mg ha an . En forêt secondaire -1 -1 vieille cette quantité de la biomasse est passée de 211,71±21,9 Mg ha à 232.92 ± 21.4 Mg ha soit une accumulation annuelle de 6.41 ± 2.16 Mg ha -1 -1 an . L’accumulation de biomasse des lianes dans les deux forêts secondaires est trop négligeable inférieure à 0,5 tonnes/ha/an. </p>Analyse de la dynamique floristique et accumulation de carbone dans les forêts secondaires de la cuvette centrale, cas du PN Salonga tag:cd.chm-cbd.net,2017-01-26:/implementation/centre-de-sureveillance-de-la-biodiversite-csb/botanique/biomasse-forestiere/analyse-de-la-dynamique-floristique-et-accumulation-de-carbone-dans-les-forets-12017-01-26T17:19:51ZConsolate KasweraConsolate KasweraEstimation des stocks de Carbone dans les différents peuplements forestiers de Kisangani et ses environs R.D. Congo.tag:cd.chm-cbd.net,2017-02-09:/implementation/centre-de-sureveillance-de-la-biodiversite-csb/botanique/biomasse-forestiere/estimation-des-stocks-de-carbone-dans-les-differents-peuplements-forestiers-de2017-02-09T09:18:26ZJustin AsimonyioJustin Asimonyio<p>Aerial forest woody biomass estimates are needed to monitor changes in carbon stocks as well as for other purposes. This study was conducted in the district of Tshopo around the town of Kisangani, in three villages (Bafwabula. Yambela and Yaoseko). In the present work. we look at the carbon stored in biomass living from natural forests. This stock of carbon important across the globe is poorly known and little study i 1 (Ill. region of Kisangani. The study of biomass allows quantifying the impact of human activities on forest and trying to better understand its ecological functioning. The main idea COl"this study is to estimate the stock of carbon sequestered in different uses of Earth systems. <i>7(J </i>pl )1:- were installed in different types of stands (primary forest on soil hydromorphe. primary Iores; on dry land. secondary forest. plantation rubberwood. fallow. and fields) . 3716 plant individuals were sampled from a dbh ranging from 5 to 175 em; to which 1142 Bafwabula individuals, I ~-+8to Yam bela and 1326 at Yaoseko. Getting there should ev .iluate the aboveground biomass; it is why two models of allometric equation with variables: height, dbh and deusity of wood is the object of this study (the model of Chave et al. 2005 and Faye &a11l]1: al. 2013). Average estimat ion of biomass and sequestered carbon varies according to the types of stands.</p>Structure, accroissement diametrique et evolution du stock de carbone de I' essence Prioria oxyphylla (Harms) Bretteler dans la parcelle permanente du bloc Nord de la reserve forestiere de Yoko (Ubundu, Province Orientale, RDC).tag:cd.chm-cbd.net,2017-02-09:/implementation/centre-de-sureveillance-de-la-biodiversite-csb/botanique/biomasse-forestiere/structure-accroissement-diametrique-et-evolution-du-stock-de-carbone-de-i2017-02-09T09:18:26ZJustin AsimonyioJustin Asimonyio<p>Structure diametric growth and evolution of the stock of carbon species in the semi­ deciduous forest Yoko Forest Reserve: Case Priora oxyphylla (Harm) Rrc teler permanent plot in the northern block (Ubundu, Orientale Province, ORC) The overall objective of this paper is to know the structures, increases diametric means and the production of biomass and the amount of carbon sequestered four years later, between 2008 and 2012. The inventory was made in a permanent plot of 9 acres located in the northern block «f till permanent device Yoko, within which all individuals Priora oxyphylla to dbh ~ 10 em wer .:. measured at 1.30 m from above the ground and surveying was materialized by two red :-.n. pcs painted and positioned by the coordinates x, y in the first season in 2008. And the ~t!C0l1l1 campaign made in 2012, was re-rneasure the same people and the same place ... After the analysis, the total basal area was 1.1031 m2 / ha (0.1226 ± 0.113 1112 / ha) in :OOX and that of2012, it is 1.1599 m2/ ha (0.1289 ± 0.1354 m2 / ha). The diametric structures and the years 2008 and 2012 are' "S stretched." Diametric annual increases are 0.3 ± 0.46 for dominant and 0.16 ± 0.16 for the domii.ared The biomass production increased from 19.5300 t / ha (0.4246 ± 0.5545 t <i>I </i>ha) in 2( .)8 10 20.6724 t <i>I </i>ha (0.4494 ± 0.5638 t / ha) in 2012, a gain of about 0.2856 t <i>I </i>ha <i>I </i>year. Wlule the amount of carbon sequestered is increased from 9.7650 t <i>I </i>ha (0.2123 ± 0.2726) in 2U08 to 10.3362 t <i>I </i>ha (0.2247 ± 0.2819 t <i>I </i>ha) in 2012, a gain of the order of 0.1428 1 ha )eal Individuals Priora oxyphylla are randomly distributed and the dominated are independent 01 the dominant within the permanent plot of the northern block of Yoko. </p>Diversité floristique et biomasse aérienne de la forêt de Yasikia (Opala, RD. Congo)tag:cd.chm-cbd.net,2017-02-09:/implementation/centre-de-sureveillance-de-la-biodiversite-csb/botanique/biomasse-forestiere/diversite-floristique-et-biomasse-aerienne-de-la-foret-de-yasikia-opala-rd.2017-02-09T15:14:16ZJudith TsongoJudith Tsongo<p>Le présent travail a porté sur la diversité floristique et la biomasse aérienne dans les forêts de Yasikia. L'objectif majeur de cette étude était d'analyser les relations qui existent entre la biomasse, la richesse spécifique et les paramètres structuraux de peuplement d'arbres. Un inventaire floristique a été réalisé sur un méga-transect de 3000 m(soit 3km) dans une zone la moins perturbée possible sur une superficie de 5 ha. Le long de ce méga-transect, 20 parcelles carrés de 50 x 50 m (0.25 ha chacune) ont été placées de part et d'autre du transect. Tous les arbres dont le diamètre à 1,30m d hauteur est supérieur ou égal à 10 cm ont été inventoriés.</p>
<p>Les peuplements étudiés recèlent 99 espèces d'arbres dans l'ensemble avec une moyenne de 21 espèces par parcelle de 0,25 ha. la densité moyenne par ha est de 314 pieds d'arbres qui représente une surface terrière moyenne d'environ 25 m<sup>2</sup>/ha. Les peuplements étudiés sont composé en grande partie par Gilbertiodendron dewevrei et Scorodophloeus zenkeri, toutes deux de la famile des Fabaceae. La biomasse aérienne moyenne calculéé est de 362,28 tonnes/ha et dont plus de la moitié est obtenue par les individus d'arbres à DBH supérieur ou égal à 30cm. La densité et la surface terrière sont les paramètres structuraux qui ont montré une corrélation positive avec la biomasse; alors que la richesse spécifique en montre plus ou moins une corrélation négative.</p>structure et évaluation de la biomasse aérienne de Cynometra hankei Harms, Julbernardia seretii( De Wild) Troupin et Scorodophloeus zenkeri Harms dans la forêt semi-caducifoliée de Yasikiatag:cd.chm-cbd.net,2017-02-09:/implementation/centre-de-sureveillance-de-la-biodiversite-csb/botanique/biomasse-forestiere/structure-et-evaluation-de-la-biomasse-aerienne-de-cynometra-hankei-harms2017-02-09T15:14:16ZJudith TsongoJudith Tsongo<p style="text-align: justify;"><span style="font-family: times new roman,times; font-size: small;">La présente étude a porté sur la structure et l'évaluation de la biomasse aérienne de <em>Cynometra hankei</em> Harms, <em>Julbernardia seretii</em>( De Wild) Troupin et <em>Scorodophloeus zenkeri</em> Harms dans la forêt semi-caducifoliée de Yasikia(Opala, Province de la Tshopo, RD Congo).</span></p>
<p style="text-align: justify;"><span style="font-family: times new roman,times; font-size: small;">L'objectif général poursuivi dans ce travail est de caractériser la structure de <em>Cynometra hankei</em>, <em>Julbernardia seretii</em> et <em>Scorodophloeus zenkeri</em> dans la forêt semi-caducifoliée de Yasikia. </span></p>
<p style="text-align: justify;"><span style="font-family: times new roman,times; font-size: small;">La collecte de données a été effectuée dans une parcelle de quatre hectares de 400m X 100m de côté et subdivisée en son tour à 4 placeaux de 100m X 100m de côté à l'intérieur desquels, tous les individus de <em>Cynometra hankei</em>, <em>Julbernardia seretii</em> et <em>Scorodophloeus zenkeri</em> à dhp ≥ 10 cm ont été mesure à 1,30 m du sol ou à 30 cm au dessus de contreforts et cartographies par les coordonnées x, y. </span></p>
<p style="text-align: justify;"><span style="font-family: times new roman,times; font-size: small;">A l'issue de cet inventaire, 170 individus à dhp ≥ 10 cm ont été inventoriés dans une superficie de 4ha dont <em>Cynometra hankei </em>avec 24 individus, soit 6 pieds/ha, <em>Julbernardia seretii </em>avec 50 individus, soit 12,5 pieds/ha et enfin, <em>Scorodophloeus zenkeri avec 96 individus, soit 24 pieds/ha.</em></span></p>
<p style="text-align: justify;"><span style="font-family: times new roman,times; font-size: small;"><em>La structure diamètrique est deséquilibrée chez <em>Cynometra hankei </em></em>tandis qu'elle est équilibrée chez <em>Julbernardia seretii</em> et <em>Scorodophloeus zenkeri</em>. La surface terrière totale pour les trois espèces est de 5,7201 m<sup>2</sup>/ha dont 1,8285 m<sup>2</sup>ha pour <em><em>Cynometra hankei</em></em>; 1,3678 m<sup>2</sup>/ha pour <em>Julbernardia seretii</em> et 2,5238 m<sup>2</sup>/ha pour <em>Scorodophloeus zenkeri.</em></span></p>
<p>La biomasse<em> totale produite pour l'ensemble des trois espèces est de 93,9240 t/ha dont 37,2131 t/ha pour <em><em>Cynometra hankei</em></em></em>; 19,9787 t/ha pour <em>Julbernardia seretii</em> et 36,7322 t/ha pour <em>Scorodophloeus zenkeri </em>et le carbone total séquestré pour l'ensemble de trois espèces est de 46,9620 t/ha dont 18,6066 t/ha pour <em><em><em>Cynometra hankei</em></em></em> ; 9,9894 t/ha pour <em>Julbernardia seretii</em> et 18,3661 t/ha pour <em>Scorodophloeus zenkeri.</em><em><br /></em></p>
<p><em></em></p>
<p><em></em></p>Evaluation de la biodiversité et stocks de carbone aérien dans les différents peuplements forestiers d'Isangi, RD Congotag:cd.chm-cbd.net,2017-02-09:/implementation/centre-de-sureveillance-de-la-biodiversite-csb/botanique/biomasse-forestiere/evaluation-de-la-biodiversite-et-stocks-de-carbone-aerien-dans-les-differents2017-02-09T21:04:13ZJudith TsongoJudith Tsongo<p style="text-align: justify;"><span style="font-family: times new roman,times; font-size: small;">En Afrique tropicale, les relations entre la biomasse, la diversité et la composition floristique sont mal connues et rarement abordées dans les études d'écologie forestière.</span></p>
<p style="text-align: justify;"><span style="font-family: times new roman,times; font-size: small;">Dans la présente étude, nous voulons tester ces relations dans le massif forestier de Isangi (2° 13'N et 2° s; 22° 33' et 28° E). Nous avons postulé que dans la région forestière d'Isangi(i) de vérifier la variabilité floristique et structurale( densité, surface terrière, structure de diamètres) entre types forestier (ii) de tester la différence de stocks de carbone entre type de forêt et (iii) de mettre en évidence des relations entre la biomasse, la richesse et la composition spécifique de la région forestière de Isangi. Le protocole de récolte des données prévoyait la prise du diamètre sur les arbres à dhp ≥ 10 cm dans des parcelles de 50 x 50m<sup>2. 145 parcelles ont été installées dans les différentes classes d'occupation du sol( Jachères de différents âges, forêt secondaire et forêt primaires). L'analyse factorielle de correspondance a permis de discriminer les groupements floristiquement différents. les tests de corrélations nous ont permis d'apprécier les relations biomasse-richesse spécifique standardisée, densité et surface terrière. Les résultats trouvés montrent la présence d'une différence de biomasse entre les quatre groupement trouvés. Aussi, ces derniers montrent des corrélations positives entre la biomasse-richesse spécifique standardisée, densité et surface terrière. </sup></span></p>Modélisation de l'implication de l'hydromorphie du sol sur la diversité, la distribution des abondances et la structuration spatiale des populations d'arbres dans la forêts de Uma(Ubundu, RD Congo)tag:cd.chm-cbd.net,2017-02-11:/implementation/centre-de-sureveillance-de-la-biodiversite-csb/botanique/biomasse-forestiere/modelisation-de-l-implication-de-l-hydromorphie-du-sol-sur-la-diversite-la2017-02-11T14:18:39ZJudith TsongoJudith Tsongo<p style="text-align: justify;"><span style="font-family: times new roman,times; font-size: small;">L'objectif principal est de ressortir les différents modèles floristiques et structuraux qui facilitent la compréhension du fonctionnement des forêts tropicales pour leur gestion raisonée et durable.</span></p>
<p style="text-align: justify;"><span style="font-family: times new roman,times; font-size: small;">La méthode utilisée était celle des placeaux établis sur une superficie de deux hectares dans les différents substrats (sols hydromorphes et terre ferme), en raison d'1 ha par substrat. Chaque placeaux était divisée en sous 4 parecelles de 50m x 50m dans lesquels tous les individus à dbh ≥ 10 cm ont été recensés. </span></p>
<p style="text-align: justify;"><span style="font-family: times new roman,times; font-size: small;">Au tota 668 individus ont été inventoriés sur les sols hydromorphes, regroupés en 98 espèces, 71 genres et 38 familles, et 652 individus ont été recensés sur terre ferme, regroupés en 80 espèces, 61 genres et 29 familles.</span></p>
<p style="text-align: justify;"><span style="font-family: times new roman,times; font-size: small;">Nos résultats sur la diversité spécifique ont montré que les valeurs de diversité sont en moyenne plus élevées sur sols hydromorphes (Ds= 0,90; Sh= 3,23; Eq= 0,82), comparativement à celles observéess sur terre ferme (Ds= 0,82; Sh= 2,97; Eq= 0,82), comparativement à celle observées sur terre ferme (Ds= 0,82; Sh= 2,97; Eq= 0,80).</span></p>
<p style="text-align: justify;"><span style="font-family: times new roman,times; font-size: small;">Statistiquement, les densités présentent des différences très significatives entre les parcelles à l'intérieur de chaque habitat (SH : t= 13.7817, df= 3, p-value= 0,0008268<0,05%; TF: t= 23.4863, df= 3, p-value= 0,0001691<0,05%). Toutefois, la significativité étant plus marquée sur sols hydromorphes que sur terre ferme nous permet de considérer que l'hydromorphie du sol a une action plus déterminante sur cette caractéristique du peuplement.</span></p>
<p style="text-align: justify;"><span style="font-family: times new roman,times; font-size: small;">Par contre la comparaison des valeurs de densités entre ces deux biotopes n'ont pas montré des différences significatives( t= 0,2864, df= 4,7, p-value= 0,7865).</span></p>
<p style="text-align: justify;"><span style="font-family: times new roman,times; font-size: small;">Les résultats ont montré qu'il existe une structuration spécifique spatiale marqué par un continium floristique qui s'y défini.</span></p>
<p style="text-align: justify;"><span style="font-family: times new roman,times; font-size: small;"></span></p>